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Polaroids Paysages bleus
Polaroids Paysages bleus, 2019-2023
© Christophe Beauregard Photographs
Cette série est volontairement bleue. Depuis 2019, en parallèle de mon travail de commandes et de portraits, je photographie avec un Polaroïd SX70 : portraits, paysages, natures mortes, autant de genres à explorer par l’immédiateté et l’unicité du médium.
Dans mon studio du Bateau-Lavoir pendant le premier confinement de 2019, alors que je ne pouvais plus photographier les êtres humains, je me suis mis à photographier les fleurs, et à étudier l’espace, la perspective, la lumière, les couleurs. Ces polaroids m’ont permis d’approfondir mes recherches picturales sur la couleur, la figure et la fiction. Quelques mois plus tard, ce travail de studio s’est naturellement tourné vers l’extérieur lorsque nous avons pu circuler plus librement.Inspiré par la littérature, j’ai simplement imaginé que j’étais au théâtre, et que je découvrais sur la scène d’une pièce imaginaire des fleurs et des objets disposés dans le décor. Ces mêmes décors et paysages qui nous incitent à la rêverie d’histoires humaines possibles, des Short Stories.
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Polaroids Fleurs
Polaroids Fleurs, 2019-2023
© Christophe Beauregard Photographs
Depuis 2019, en parallèle de mon travail de commandes et de portraits, je photographie avec un Polaroïd SX70 : portraits, paysages, natures mortes, autant de genres à explorer par l’immédiateté et l’unicité du médium.
Dans mon studio du Bateau-Lavoir pendant le premier confinement de 2019, alors que je ne pouvais plus photographier les êtres humains, je me suis mis à photographier les fleurs, et à étudier l’espace, la perspective, la lumière, les couleurs. Ces polaroids m’ont permis d’approfondir mes recherches picturales sur la couleur, la figure et la fiction. Quelques mois plus tard, ce travail de studio s’est naturellement tourné vers l’extérieur lorsque nous avons pu circuler plus librement.Inspiré par la littérature, j’ai simplement imaginé que j’étais au théâtre, et que je découvrais sur la scène d’une pièce imaginaire des fleurs et des objets disposés dans le décor. Ces mêmes décors et paysages qui nous incitent à la rêverie d’histoires humaines possibles, des Short Stories.
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- Polaroid Fleurs I, 2022
- Fleurs Polaroid Fleurs II, 2022
- Fleurs Polaroid Fleurs III, 2022
- Fleurs Polaroid Fleurs IV, 2022
- Polaroid Fleurs V, 2022
- Polaroid Fleurs VI, 2022
- Polaroid Fleurs VII, 2022
- Polaroid Fleurs VIII, 2022
- Polaroid Fleurs IX, 2022
- Polaroid Fleurs X, 2022
- Polaroid Fleurs XI, 2022
- Polaroid Fleurs XII, 2022
- Polaroid Fleurs XIII, 2022
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Polaroids Natures mortes
Polaroids Natures mortes, 2019-2023
© Christophe Beauregard Photographs
Cette série est volontairement bleue. Depuis 2019, en parallèle de mon travail de commandes et de portraits, je photographie avec un Polaroïd SX70 : portraits, paysages, natures mortes, autant de genres à explorer par l’immédiateté et l’unicité du médium.
Dans mon studio du Bateau-Lavoir pendant le premier confinement de 2019, alors que je ne pouvais plus photographier les êtres humains, je me suis mis à photographier les fleurs, et à étudier l’espace, la perspective, la lumière, les couleurs. Ces polaroids m’ont permis d’approfondir mes recherches picturales sur la couleur, la figure et la fiction. Quelques mois plus tard, ce travail de studio s’est naturellement tourné vers l’extérieur lorsque nous avons pu circuler plus librement.Inspiré par la littérature, j’ai simplement imaginé que j’étais au théâtre, et que je découvrais sur la scène d’une pièce imaginaire des fleurs et des objets disposés dans le décor. Ces mêmes décors et paysages qui nous incitent à la rêverie d’histoires humaines possibles, des Short Stories.
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- Polaroid Nature morte & plaque de verre II, 2022
- Polaroid Nature morte & plaque de verre III, 2022
- Polaroid Nature morte & plaque de verre I, 2022
- Polaroid Nature morte & plaque de verre IV, 2022
- Polaroid Nature morte & plaque de verre IV, 2022
- Polaroid Nature morte & plaque de verre VI, 2022
- Polaroid Nature morte I, 2022
- Polaroid Nature morte II, 2022
- Polaroid Nature morte III, 2022
- Polaroid Nature morte IV, 2022
- Polaroid Nature morte V, 2022
- Polaroid Nature morte XII, 2022
- Polaroid Nature morte XIII, 2022
- Polaroid Nature morte XIV, 2022
- Polaroid Nature morte XV, 2022
- Polaroid Nature morte XVI, 2022
- Polaroid Nature morte XVII, 2022
- Polaroid Nature morte XVIII, 2022
- Polaroid Nature morte XIV, 2022
- Polaroid Nature morte XXXII, 2022
- Polaroid Nature morte XXV, 2022
- Polaroid Nature morte XXX, 2022
- Polaroid Nature morte XXXI, 2022
- Polaroid Nature morte XXIX, 2022
- Polaroid Nature morte XXVII, 2022
- Polaroid Nature morte XXVIII, 2022
- Polaroid Nature morte XXVI, 2022
- Polaroid Nature morte XX, 2022
- Polaroid Nature morte XXI, 2022
- Polaroid Nature morte XXII, 2022
- Polaroid Nature morte XXIII, 2022
- Polaroid Nature morte XXIV, 2022
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Vianney D.
Vianney D, 2020-2022
Déjouer les codes du moi© Christophe Beauregard Photographs
Ne voyons pas dans cette série la énième série sur la non binarité ou le genre, sur la photogénie de l’hybridation ou du transgressif, du voyeurisme du travestissement de l’homme / femme mais une réflexion sur le désir. D’un côté le désir d’être deux en un, d’être un tout, un absolu, avec ses frontières si vastes, de l’autre le désir de pouvoir appréhender ce tout.
Pour cette série Vianney est mon modèle, et iel est non binaire. Traiter par la photographie ce désir d’ambivalence et ce trouble de la perception de l’autre est un enjeu dans la continuité de mes recherches précédentes. Et aller chercher et trouver précisément ce qui n’est plus ni femme ni homme chez iel, et déjouer ainsi les codes du regard que la société nous a longuement appris à reconnaitre.
« Ici Christophe Beauregard nous présente sa toute dernière série réalisée autour d’une personne : Vianney Desplantes. Il est non-binaire. Il n’est pas seulement un homme, ni une femme. Il est double et à la fois unique.
À travers le portrait, sujet de prédilection du photographe, il va tenter de représenter cette ambivalence, cette recherche d’identité et de point net, dans ce mouvement perpétuel. Ainsi, Vianney Desplantes devient aussi l’auteur d’une performance. »
Texte Ségolène Brossette.
Exposition « Face à moi mon image », Ségolène Brossette Galerie, Paris -
Why not portraits ?
Why not portraits ?, 2019-2022
© Christophe Beauregard Photographs
Comme dans certaines toiles de Matisse du début du XXe siècle, ces modèles sont photographiés devant des fonds imprimés, l’occasion de questionner les rapports de la figure au fond. Il peut exister un lien formel entre ce fond et les matières des vêtements, soit au contraire la figure s’en détache.
Ces clichés montrent comment le corps fait les frais de l’obsession contemporaine de donner un sens à notre existence. Je m’amuse à déconstruire notre langage corporel de façon malicieuse, avec bienveillance.
Dans cette série comme dans beaucoup d’autres, je traque le moment où ceux qui sont en apparence sans histoire incarnent, respirent et transpirent cet état d’esprit propre aux sociétés post-modernes : l’envie d’être unique tout en étant conforme aux normes."Voyons Christophe Beauregard, dans ce prisme de duplicité, comme un faiseur d’images lucide, refusant l’illusion de la représentation flatteuse ou servile et lui préférant le contrôle sur les images qu’il produit. La série photographique Why Not Portraits ?(2019) est à cet égard signifiante : chaque modèle qui y prend la pose vient avec ses arguments (jeunesse, prestance, attitude de force), une position avantageuse que le photographe désamorce en faisant poser ledit modèle devant un fond inapproprié, en l’occurrence un tissu imprimé démodé évoquant, en termes symboliques, le déclassement. Se croire important, oui, le modèle en a le droit. Chaque portrait, vient rappeler en contrepoint Christophe Beauregard, est toutefois un memento mori autant qu’une preuve d’être, un fait d’existence autant qu’une vanité." Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art.
"Why Not Portraits ?" Price List
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- Tockss, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Carole, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Youssef, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Alexis, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Louise-Emma, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Jaime, 2020. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Nadège, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Andjel, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Clotilde, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Abi, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Sarah, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Guillaume, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Océane, 2021. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
- Alexandre, 2019. C-Print, frame. 70 x 70 cm & 50 x 50 cm. Edition 8 + 2 AP
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Sari
Sari (Corse du Sud)
© Christophe Beauregard Photographs
Catalogue SARI by Christophe Beauregard © 2018
Publisher Christophe Daviet-Théry
Design Bizzarri-Rodriguez, Publié par EXPOSED.Cette envie de shooter ces images m’est venue durant l’été 2015, alors en villégiature dans un village de Corse du Sud. Frappé par la liberté dont jouissaient les enfants, j’entreprends de les photographier dans les décors naturels aux alentours du village : maquis, forêt, rivières, routes, etc. J’y ajoute aussi des ambiances, des paysages, des animaux, des scènes de la vie locale. Je photographie un réel sans détournements au plus près de mes sensations.
La critique et historienne de la photographie Dominique Baqué écrit à propos de Sari :
(…) voici donc le monde solaire de l’enfance, que l’artiste capte au coeur du village de Sari d’Orcino, en Corse du Sud – la série s’intitulant d’ailleurs « Sari ». (…)
(…) Entre mer, soleil, maisons, cavernes et forêts, c’est une allégorie de l’Eden perdu qui semble se déployer ici. Pour autant, toute part de lumière recèle son inévitable part d’ombre, et ne voir dans l’enfance que l’innocence relèverait d’une mièvre naïveté. Or il n’entre aucune mièvrerie dans les images de Christophe Beauregard. Bien au contraire : elles sont fortes, puissantes, brutes, aussi. Mais davantage encore : quelque chose sourd souvent derrière la belle apparence, quelque chose d’impalpable et de difficilement définissable, qui relève d’une menace dont on ne sait si elle va se préciser et s’actualiser, ou non. (…) »- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm. Edition of 8 + 2 AP
- L'installation, Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Mathieu, Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Mathieu II, Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2018, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C Print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- , 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Hyacinthe I, Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Hyacinthe II, Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
- Sari, 2017-2018. C-print 74 cm x 74 cm & 50 cm x 50 cm
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Fleurs
Fleurs, 2020-2022
© Christophe Beauregard Photographs
Voici ma toute nouvelle série inédite Fleurs, 2020 initiée pendant le confinement à Paris entre février et mai 2020 dans mon atelier au Bateau-Lavoir.
Portraitiste, mes recherches tentent habituellement de montrer comment dans nos sociétés actuelles le corps fait les frais de cette obsession contemporaine à donner un sens à son existence.
Ne pouvant plus photographier les êtres, je me suis mis à photographier les fleurs, et à étudier l’espace, la perspective, la lumière, les couleurs sans retouche de postproduction. La liberté n‘était plus dehors, j‘essayais de la retrouver dans l‘atelier, dans le cadre de l‘appareil photo.
J’ai simplement imaginé que j’étais au théâtre, et que je découvrais sur la scène d’une pièce imaginaire des fleurs disposées dans le décor.
Même ces fleurs sont devenues des denrées rares puisque les fleuristes étaient fermés mais étaient toujours sur le pont prêts à me livrer, moi qui ne demandait qu’une chose, travailler !
Ces fleurs évoquent cette rage, cette énergie de tous ces personnes qui privées de leur activité ont tout fait pour continuer. Elle se sont battues n’ayant aucune idée de ce qui allait se passer, de l’avenir. Cette foi qui pousse l’être à toujours avancer alors que tout peut s’arrêter du jour au lendemain.
Articles :
https://www.centrephotogeneve.ch/galerie-photographie-que-faites-vous-quand-vous-ne-faites-rien/?type_0=gallery&album_gallery_id_0=35- Nature morte et nu photographique, 2022. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Nature morte au cerf & nu photographique, 2022. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Nature morte à l’hortensia II, 2022. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2020. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2020
- Fleurs, 2021. Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
- Fleurs, 2020; Pigment print on platinum paper, frame 80 cm x 60 cm & 36,5 cm x 48,65 cm
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It’s getting dark
It's getting dark, 2013
© Christophe Beauregard Photographs
En 2014, c’est grâce à cette série It’s getting dark que j'expose au centre Pompidou-Metz et au Centquatre.
Invités le temps d’une séance de pose à mon atelier, je demande à ces hommes et ces femmes de se voiler le visage avec un vêtement ou une étoffe de leur choix, symbolisant l'aveuglement contemporain, la perte et le changement d’identité.
Série initiée lors d’une résidence artistique au Centquatre-Paris en 2013.
- Vert, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Blanc. Tryptique I, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Blanc. Tryptique II, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Blanc. Tryptique III, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Vert II, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Vert III, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Bleu, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Jaune, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Rouge, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Rouge II,, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Rouge III, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
- Rose, 2014. C-print 90 cm x 90 cm & 50 cm x 50 cm
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The beholders
The beholders, 2014
© Christophe Beauregard Photographs
En France et à l'étranger photographier les reflets d'oeuvres choisies de l’histoire de l’art dans les rétines des spectateurs.
Editions :
2015 The beholders, Sam FRANCIS, In lovely blueness (n° 1), in Anastasia's eye, carte postale éditée par les Editions du Centre Pompidou, 800 ex., 10 x 15 cm.
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Hush, hush
Hush, hush, 2014
© Christophe Beauregard Photograph
Avec « Hush-hush », je fais appel à un paparazzi professionnel qui revêt les tenues utilisées lors de ses planques afin de mettre en évidence l’un des aspects de ce métier : le travestissement. À la technique de la dissimulation s’ajoute celle du déguisement : le photographe, en se fondant dans le décor, devient invisible aux yeux de sa proie et peut se saisir de l’image convoitée. L’art du camouflage permet ainsi de pourvoir à cette quête d’images susceptibles d’alimenter les magazines people. Le leurre est ici mis à profit et se décline à travers plusieurs mises en scène d’une parfaite artificialité : à l’hôpital, à l’hôtel Lutetia, au bois de Boulogne, à la mairie du 7e arrondissement à Paris. Le métier de paparazzi se rapproche alors curieusement de la performance d’acteur.
Cette série est exposée au Centre Pompidou Metz à l'occasion de l'exposition collective, "Paparazzi ! Photographes, stars et artistes", du 28 février au 30 juin 2014. Voir + Elle sera également visible à la Schirn Kunsthalle de Frankfurt, de juin à octobre 2014.
Publications :
Catalogue d'exposition Paparazzi! Flammarion, 2014
- Bois de Boulogne, juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
- Hôpital européen Georges-Pompidou, Paris juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
- Hôtel Lutetia, Paris, juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
- Mairie du 7e Arr., Paris juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
- Mairie du 7e Arr., Paris juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
- Mairie du 7e Arr., Paris juillet 2012. C-print 35,5 x 23 cm. 52 x 42 cm framed
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Le meilleur des mondes ?
Le meilleur des mondes, 2012
© Christophe Beauregard Photographs
Des sociétés de masse elles aussi en activité perpétuelle, où triomphe l’uniformisation et où l’individu se trouve broyé au détriment de la valeur travail, tel semble être le message que délivre Christophe Beauregard dans sa série de portraits ironiquement intitulé Le Meilleur des Mondes.
La nature nous fait-elle naître tous égaux? Et l’égalité que prône au juste titre notre société, ne risque-t-elle pas par moment d’être confondue avec l’uniformité? La nature ne nous a-t-elle pas plutôt tous créés comme des êtres proprement uniques? Dès lors, il semble que ces visages, pris dans les mêmes costumes, les mêmes cravates ou les mêmes chemisiers, et photographiés comme dans un trombinoscope, n’en demeurent pas moins strictement irréductibles les uns aux autres. Ils affichent leurs propres particularités et rendent par là hommage à l’infinie créativité de mère nature, qui ne produit jamais deux fois la même chose ou la même créature.
José-Manuel Gonçalvès,
Directeur du CentQuatre-Paris.Ces hommes et ces femmes sont membres (salariés, bénévoles) de Basiliade ou bien suivis par l'association Basiliade, qui a pour vocation d’accueillir et d’accompagner les personnes atteintes du VIH/sida et notamment les plus démunies face à la maladie. Pour ce projet qui interroge la stigmatisation de l’autre par le regard et l’image, Christophe Beauregard a imaginé un dispositif proche de celui utilisé dans la publicité (prises de vues moyen format, stylisme identique pour les hommes et pour les femmes, maquillage, flashs électroniques, fond de couleur). Devant l'objectif de Christophe Beauregard, ces personnes deviennent ainsi des «employés du mois» exprimant en creux le malaise sociétal que nous traversons : la suspicion à l'égard des autres et le monde de l'entreprise comme mode de réalisation mortifère de soi. En deux mots : le portrait d'une société en souffrance.
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
- C-print, plexiglass 100 cm x 75 cm & 60 cm x 45 cm
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Pentimento
Pentimento, 2011
© Christophe Beauregard Photographs
Alors que les tatouages et le body art sont à la mode dans nos sociétés contemporaines, je m’intéresse à un phénomène plus discret : le dé-tatouage. Une tentative de révéler ce qui est en train de disparaître."La série de Christophe Beauregard, Pentimento, qui signifie "repentir" en italien, porte sur des personnes qui se font effacer, recouvrir ou remplacer leurs tatouages par des techniques au laser.
Christophe Beauregard établit un parallèle entre la scène actuelle de l'art corporel et les pentimenti de peintures historiques : les traces du travail d'un artiste initialement cachées sous des couches de peinture qui deviennent visibles avec le temps
Certains de ces modèles considèrent leur corps comme une sorte d'ardoise magique : leurs tatouages sont remplacés, mais jamais complètement effacés, par de nouveaux motifs."The Guardian, Invisible Ink : tyhe weird world of taoo removal, August 9th 2017
Fotofever, Arles 2017, Fondation : Pentimento, 03 juillet > 24 septembre 2017- Muse, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Darkness, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Polynésie, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Ange, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Star (recliining), 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Tribal, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
- Serpent, 2011. Inkjet pigment print on baryta paper 100 cm x 75 cm 60 cm x 45 cm
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Devils in disguise
Devils in disguise, 2010
© Christophe Beauregard Photographs
Je vous présente Hulkluk, Diablozaure, Rangermysterio.... Ces sympathiques monstres sont-ils de simples enfants jouant dans les bois ? Avec cette série, je tente de montrer comment l’imaginaire de nos rejetons est formaté par l’industrie des biens culturels. Portrait d’une jeunesse plurielle.Les photographies de la série Devils in Disguise procèdent d’une mise en scène. Prenant pour toile de fond la forêt, un enfant déguisé est saisi en pleine action dans une posture héroïque, offensive ou défensive rappelant les actions des (super) héros vernaculaires dont s’inspirent ces postures. Chaque mise en scène procède de la fusion de deux personnages hybridés : à l’image de leur accoutrement, les petits héros portent alors des noms composites tels des mots-valises (le costume de Hulk et le ceinturon de Lucky Luke donnant lieu à Hulkluck, la cape de Batman et le bonnet du père Noël à Christmasman…). Ces créatures évoquent les hybridations de Ralph Eugene Meatyeard ici débarrassées de leur monstruosité pour laisser place à une imagerie populaire dont les signes sont immédiatement identifiables.
Audrey Illouz, commissaire et critique d’art.
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Technomades
Technomades, 2008
© Christophe Beauregard Photographs
Des gestes et des postures physiques dues à l'utilisation de nouveaux moyens de technologie nomades font dorénavant parties de notre expérience quotidienne. Largement diffusés et utilisés par la publicité, ces attitudes et objets high-tech représentés piègent notre imaginaire, jusqu’à créer de nouveaux codes, de nouveaux signes. Dans chaque ville citée, je fais poser des utilisateurs anonymes délestés de l’appareillage technologique trop voyant.Catalogue :
2008 Europe Echelle 27 aux Editions Trans Photographic Press/Signatures -
Las Vegas
Las Vegas, 2009
© Christophe Beauregard Photographs
Pendant deux ans, durant les fêtes de fin d’années, j'explore l’univers féerique des quartiers résidentiels où, la nuit, des centaines de maisons s’illuminent et se mettent à scintiller. Intitulés Las Vegas, mes clichés jouent les trouble fêtes et dévoilent, non pas l’envers du décor, mais des atmosphères étranges et inquiétantes à l’œuvre dans chacun des dispositifs lumineux imaginés par les habitants de ces maisons. Désertés de toute présence humaine, ces spectacles de lumière apparaissent comme des vanités sans qualités : de la poussière d’étoile.
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Semantic tramps
Semantic tramps, 2008
© Christophe Beauregard Photographs
"Le reportage que [Christophe Beauregard] a consacré aux SDF est tellement vrai qu’il est faux. Ces hommes et ces femmes sont des acteurs, les stigmates de la dèche sont du maquillage, et leurs habits salis, des costumes. Christophe Beauregard a effectué des repérages, organisé les prises de vue, discuté du “personnage” avec les acteurs. (…) Ce que le photographe a entrepris a l’allure d’un roman ou d’un film."
Gérard Lefort, extrait de Misère en scène, Libération du 21 août 2007. (lire sur liberation.fr)
Catalogues :
2008 Semantic tramps, 13 photographies, texte inédit d’Arlette Farge, 40 pp, Editions FILIGRANES
Interview sur You tube
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Chirurgies
Chirurgies, 2005
© Christophe Beauregard Photographs
Dans une série de 16 portraits d’anonymes chirurgicalement retouchés, je néglige les cicatrices et autres clichés de "l'avant/après". Désormais en paix avec eux-mêmes, ces individus ont malgré tout commencé un subtil et lent brouillage des identités et des genres... Dans ces images tout se joue dans le cadre qui fonctionne comme un piège à regard. Je parle de chirurgie mais on ne voit rien.
« Aidé par deux chirurgiens esthétiques qui lui ouvrent leur cabinet pour installer son studio, Christophe Beauregard réalise ces portraits d’anonymes, tous chirurgicalement retouchés. Ces photos, prises bien après l’opération et la convalescence, ne portent plus aucune trace de l’intervention. Ici, il n’est plus question de clichés « avant-après », ni même de savoir ce qui a été modifié.
Ce qui pousse le plus généralement à l’intervention vient de la difficulté à vivre et à faire coïncider les deux images que l’on a de soi même : la réelle et l’idéalisée. Christophe Beauregard explique que, « désormais en paix avec eux-mêmes, ces individus ont, malgré tout, commencé un subtil et lent brouillage des identités et des genres ». Ces portraits témoignent de ce nouveau moi assumé, désiré. Sommes-nous entrés dans l’ère d’une certaine chirurgie du bonheur ?"
Nouvelle Peau, Libération, août 2005Expositions :2008 Chirurgies, Galerie L’œil écoute, Limoges, France 2005 Chirurgies, Salle Journiac, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris, France
Edition :
2007 Manuel d’esthétique, 16 photos couleurs, comprend deux textes de Vladimir Mitz et de Nicolas Thély, 64 pp, Filigranes Editions
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Pinder
Pinder, 1993
© Christophe Beauregard Photographs
Fortement inspiré par Freaks de Tod Browning et inspiré par les univers sensoriels, romantiques et monstrueux du cirque, j’y consacre en 1993 ma première série photographique noir et blanc : Pinder.
Dans cette série je pose mon regard et mon appareil moyen-format entre la piste et la caravane des artistes devant la toile extérieure du chapiteau, un no man’s land. Pour moi leur identité se révèle paradoxalement dans cet entre-deux. C’est ma première vraie série photographique, avec laquelle je passe mon diplôme aux Beaux Arts en 1993.
Tirage baryté noir et blanc prestige
40 x 50 cm - Edition 12 exemplaires + 2 E.A
90 x 90 cm - Edition 3 exemplaires + 2 EA